Question sur l’action de soutien aux entreprises de taille intermédiaire de BPI-France

En Commission des finances le 20 septembre 2017, j’ai adressé cette question à M. Nicolas Dufourcq, directeur général de BPI-Groupe.

 

« Ma question concerne également votre action de soutien aux entreprises de taille intermédiaire. Vous avez lancé en 2014 le fonds « ETI 2020 », afin d’accompagner les ETI à long terme et de favoriser leur développement international. Trois ans plus tard, quel premier bilan dressez-vous de cette stratégie ? Que répondez-vous à la Cour des comptes qui en conteste la rentabilité ? Ce fonds concerne les ETI « à potentiel » : comment les choisissez-vous ? Enfin, quels sont les résultats de votre action pour les ETI elles-mêmes ? »

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Question sur l’intelligence artificielle et le big data : deux secteurs d’avenir

Lors de la séance du 26 juillet 2017 de la Commission des finances, j’ai adressé une question à Mme Amélie Verdier, directrice du budget, et Mme Odile Renaud-Basso, directrice générale du Trésor.

 

« Le ministre de l’économie et des finances a évoqué deux secteurs à fort potentiel, dans lesquels notre pays peut faire la différence dans les années à venir : l’intelligence artificielle et le big data. Avez-vous des estimations sur les gisements de croissance à court et moyen terme dans ces deux secteurs d’avenir ? Plus pratiquement, comment la direction générale du Trésor prépare-t-elle dès aujourd’hui cette réorientation de notre stratégie économique et industrielle ? »

Réponse de Mme la directrice générale du Trésor
« Les domaines de l’intelligence artificielle et du big data constituent effectivement, madame Magne, d’importants gisements de croissance. Des politiques de filières, destinées à faciliter et développer l’innovation, sont mises en œuvre par le ministère de l’industrie. Pour ce qui est des politiques assez élaborées de financement des start-up qui ont été mises en place, nous avons identifié un problème : quand les entreprises se développent, les acquéreurs français potentiels peinent à atteindre la taille critique en matière de fonds disponibles pour acheter ces entreprises au prix qui en est demandé. Ainsi, il est très fréquent que des entreprises françaises qui sont de vraies pépites nous échappent parce qu’elles sont achetées par des fonds étrangers, notamment américains. Trouver des solutions de nature à remédier à ce problème constitue actuellement un véritable enjeu. »

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